CONTACT    MENTIONS LÉGALES flags flagge-france
Qui sommes-nous ?
L’eau : chiffres et faits
Projets
Projets en cours
Projets réalisés
Actions pour l’eau
Prix Hundertwasser
Faire un don
Presse & Média


Les projets > Projets en cours
Projets en cours



graphique
Région Sire, province d’Arsi, Éthiopie

porteursdeau


Des ânes porteurs d’eau

Contexte
En raison du réchauffement climatique qui entraîne des périodes de sécheresse de plus en plus longues et fréquentes, les puits se tarissent et les points d’eau sont plus difficiles d’accès. Les femmes et les jeunes filles sont les premières victimes de ce phénomène : de lourds récipients, seaux ou calebasses sur le dos, elles marchent pendant des heures pour ramener de l’eau potable dans leur foyer. Cela leur cause de graves problèmes de santé sans pour autant leur permettre de subvenir complètement aux besoins de la famille. En revanche, utiliser un âne ou un dromadaire comme porteur d’eau permet de rapporter davantage d’eau de manière moins éprouvante. L’excédent d’eau peut ainsi être vendu, partagé avec les voisins ou utilisé pour irriguer les cultures. De plus, les enfants peuvent aller à l’école au lieu d’aller chercher de l’eau. Ânes et dromadaires contribuent donc souvent à la survie des familles.

Lieu d’attribution des ânes
En Éthiopie, dans la région Sire de la province d’Arsi.

Objectif
Dans les régions reculées où il n’y a ni point d’eau, ni projet d’approvisionnement en eau prévu à court terme, la mise à disposition d’ânes et de dromadaires améliore les conditions de vie des plus démunis : les personnes âgées isolées, les veuves ayant des enfants à charge et les familles particulièrement pauvres. Des vermifuges sont fournis pour traiter l’âne ou le dromadaire.

Partenaires
Ethiopia Gospel Deliverence Church- Children and Youth Help Association
Pastor Yemaneberhan Endale.
Éthiopie : ORA International Deutschland e.V.

Coût
En Éthiopie, un âne coûte 100 €, bride, bât et récipients compris.

Supervision
Éthiopie : ORA International Deutschland e.V.

Contribution
L’achat et l’attribution d’animaux peuvent se faire à tout moment. Les ânes sont achetés le dimanche sur un marché local et attribués aux familles qui n’en possèdent pas encore. Un comité répertorie tout nouveau propriétaire d’âne.

Des projets similaires ont été réalisés au Burkina Faso et en Érythrée. Plus de 600 ânes et vermifuges ont pu être achetés grâce à l’argent récolté de 2002 à 2004 pour le projet en Érythrée, aujourd’hui terminé.

top

image
Éthiopie

 

Approvisionnement en eau potable pour le village de Birbirsa à Tokke-Kuttaye Woreda, zone administrative du Showa occidental, dans la région d’Oromya

Contexte
Birbirsa se trouve dans une région montagneuse, à une altitude de 1880 m. Jusqu’à présent, les habitants de ce village allaient chercher de l’eau dans la rivière Idris située à proximité. Mais cette eau étant impropre à la consommation, les maladies liées à l’eau sont très répandues.

À 6 km de Birbirsa se situent deux sources ayant un débit de 5 litres par seconde. La source la plus importante est déjà exploitée par Mutulu, le village voisin, mais la seconde peut répondre aux besoins en eau du village de Birbirsa. La canalisation déjà installée par la FondationEau et l’association EDA-E en juillet 2007 peut acheminer l’eau nécessaire pour compléter les besoins du village de Birbirsa.

Objectif
La source est captée et recouverte. L’eau de la source est acheminée jusqu’au village de Birbirsa grâce à une canalisation en polyéthylène. Trois réservoirs intermédiaires assurent stockage et régulation de la pression. L’approvisionnement en eau est prévu à partir de 8 points d’eau munis chacun de 2 robinets. Les points d’eau sont clôturés, accessibles à heures fixes et supervisés par des employés du comité local chargé de l’eau. Par la suite, le village devra gérer les questions techniques et économiques de l’installation.

Coût et réalisation
Le coût total du projet Birbirsa avoisine les 50 000 €. Une partie importante de la dépense est couverte par une subvention du Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement. Mais le village de Birbirsa contribue aussi au succès escompté de ce projet en construisant les canaux et réservoirs.

L’exécution a commencé en juin 2008.

top

image
Éthiopie

image


Un accès à l’eau potable pour l’école de Guuto-Adulaan, un centre de malade et la population locale à Bakko-Tibbe Woreda, Zone Ouest Showa

Contexte
L’école Guuto-Adulaan Woreda et les agglomérations disséminées dans la zone de Bakko-Tibbe se trouvent aux abord d’un paysage montagneux entre hauts plateaux et bas pays à une hauteur de 1880 m au dessus du niveau de la mer. Peu de gens s’approvisionnent en eau de source, car leur accès est très éloigné, et par conséquent difficilement accessible à pied. Par ailleurs, les sources ne sont actuellement pas utilisable. Les habitants disposent d’une sorte d’étang et en retirent de l’eau impropre à la consommation à l’aide de jerricanes. Les sources et l’étang ne sont protégés d’aucune façon, si bien que des chiens et autres animaux y boivent également. Les écoliers boivent en grande partie de l’eau d’un ruisseau situé à proximité. C’est pour cela que les maladies liées à l’eau sont très répandues.

Objectif
Il existe dans cette zone des sources qui peuvent être exploitées de façon convenable. L’objectif est de conditionner la source de Modoo, située à une hauteur de 1900m au dessus du niveau de la mer. Elle est assez abondante pour approvisionner, sur le long terme, environ 2500 personnes en eau potable.

Résultat
Une partie de la source Modoo a été captée et recouverte. L’eau de source est conduite dans une canalisation en polyéthylène jusqu’à une nouvelle citerne proche de l’école. Les canalisations alimentent en eau potable l’école ainsi que les maisons des habitants des alentours et surtout l’infirmerie. Les points d’eau sont clôturés, accessibles à heures fixes et supervisés par des employés du comité local chargé de l’eau. Par la suite, le village devra gérer les questions techniques et économiques de l'installation.

Coût et réalisation
Environ 25 000 €. La réalisation du projet a été possible grâce aux généreux dons privés du couple Malecki résidant à Hambourg.

La réalisation a débuté vers le milieu de l’année 2008.

top

image
Éthiopie

image


Approvisionnement en eau de l’école Gobbu-Walda à Bakko-Tibbe Woreda, zone du Showa occidental

Contexte
À l’heure actuelle, ni l’école Gobbu-Walda ni le village n’ont accès à l’eau potable. Les femmes et les jeunes filles sont chargés d’aller chercher l’eau. Une source située à quatre kilomètres environ permettrait d’approvisionner l’école et le village au moyen d’une canalisation.

Objectif
La source est captée et recouverte. L’eau de source salubre passe dans une canalisation de quatre kilomètres de long en direction de Gobbu-Walda. Sur ce tronçon, deux autres pompes sont prévues pour les habitants du village. Á mi-parcours, l’eau est captée dans une citerne puis transférée à l’aide d’une pompe à main dans un conteneur placé en hauteur et descend vers l’école.

La réalisation de ce projet a débuté en juin 2008 avec l’achat et le transport des matériaux vers Gobbu-Walda.

top

image
Érythrée

image

Construction d’un puits et d’un dispositif d’approvisionnement en eau pour le village d’Azafa

Contexte
Le petit village d’Azafa se trouve à 30 km au nord de Keren, dans la région des hauts plateaux. Ses quelque 5 000 habitants n’avaient jusqu’alors pas accès à l’eau salubre.

Objectif
Un puits d’une profondeur de 7,50 mètres et d'un diamètre de 2,50 mètres a été creusé au niveau du lit de la rivière Alveo, à proximité du village d’Aibaba. Il est équipé d’une pompe électrique qui achemine l’eau jusqu’au château d’eau du village. Situé à 222 mètres de haut, il fournit de l’eau à tout le village. L’électricité nécessaire au fonctionnement de la pompe est délivrée par pas moins de 126 panneaux solaires. Deux canalisations d’eau longues de 1,68 km chacune, pour une longueur totale de 3,78 km, doivent être installées. Dans la bourgade, cinq points de prélèvement en béton, dotés chacun de cinq robinets, sont installés sur une dalle de béton armé et entourés par des clôtures afin de les protéger.

Réalisation
Une collaboration extrêmement bénéfique avec l’association italienne « II Tucul » a permis de démarrer le projet en avril 2007. Celui-ci devrait être réalisé fin 2008. Grâce à un don généreux de la fondation « Wasser für die Welt » sans qui rien n’aurait été possible, la FondationEau a pu s’occuper de la partie technique du projet, comme l’alimentation en énergie solaire.

Coût
Le montant total du projet Azafa s’élève à 185 000 €.

top

image
Érythrée

 

Approvisionnement en eau potable du village d’Aibaba, Érythrée

Contexte
Aibaba se situe à proximité immédiate d’Azafà et peut donc être approvisionnée en eau par les même sources . Un système séparé de pompes fonctionnant à l’énergie solaire peut fournir de l’eau potable à 1 700 personnes supplémentaires.

Objectif
La pompe propulse l’eau dans un château d’eau, ce qui représente une dénivellation de 60 m. De là, l’eau est ensuite propulsée par chute libre vers 2 stations de répartition de 8 pompes chacune. Les stations de répartition sont alors clôturées et l’accès y est donc contrôlé. Neuf panneaux solaires fournissent l’énergie nécessaire à la pompe immergée. La canalisation forcée menant au château d’eau mesure 1070 m, et la canalisation d’alimentation menant aux stations de répartition 1000 m.

Réalisation
Les travaux sont menés en même temps que le projet Azafà en collaboration avec les bénévoles italiens de l’association « Il Tucul ». La FondationEau a repris la conception et la livraison des installations techniques, ce qui inclut l’alimentation en énergie.

Coût
Le coût pour l’ensemble du projet s’élève à 30 000 €.

top


Érythrée



Écoles de l’eau : pour un apprentissage du développement des ressources en eau et de leur protection durable.


La première école mondiale de l’eau* se trouve en Érythrée

Avec l’aide d’experts, de ses partenaires, des autorités et des communautés locales, la FondationEau lance un projet hydrologique global à l’échelle régionale dans un espace maîtrisable. Les thèmes abordés par ce projet sont le captage et l’approvisionnement en eau, le traitement des eaux usées, la protection des eaux et la reforestation. La participation de la population locale à ce projet, notamment celle des jeunes et des écoliers, est d’une importance déterminante. C’est pourquoi nous plaçons l’école, essentielle à la diffusion du projet, au centre de nos préoccupations.

Écoles de l’eau : une source d’information pour la population
Les écoles de l’eau ont pour rôle de promouvoir les initiatives, de fournir des exemples pratiques pour une utilisation durable de l’eau et de sensibiliser la population à l’écologie. On y apprend et analyse en détail des techniques modernes et adaptées d’irrigation et de captage de l’eau ainsi que les installations sanitaires.

Un apprentissage pour l’avenir
Grâce aux écoles de l’eau, les enfants construisent leur avenir. À côté des cours habituels, ils apprennent par exemple comment développer les ressources en eau de leur pays et les protéger durablement. Des thèmes comme le régime hydrique, la gestion des ressources en eau, la protection des nappes phréatiques, des eaux de surface ou provenant de l’érosion, la reforestation, l’agriculture, les techniques d’irrigation et l’hygiène sont également abordés : en bref, tout ce qui permet aux élèves de comprendre les connexions écologiques et de prendre ultérieurement des décisions bénéfiques pour leur pays.

De nombreux écoliers érythréens privés d’eau courante et de toilettes
A travers ce projet, nous avons pour objectif de donner aux enfants accès à l’eau courante et de leur fournir des récupérateurs d’eau de pluie dont la contenance équivaut à plusieurs mois d’eau potable. Une station de traitement des eaux usées biologique traitera les eaux usées. Grâce à l’installation de toilettes et de douches, les normes d’hygiène modernes seront respectées.

L’autosuffisance grâce au jardin de l’école
Les écoles de l’eau doivent produire elles-mêmes leurs aliments de base, comme les fruits et légumes. Ainsi, grâce à des conseils de professionnels, les écoliers cultivent un jardin avec l’aide de leur professeur, tout en respectant les contraintes locales et écologiques. Une partie du jardin est réservée à la culture de plants destinés au reboisement des alentours de l’école. Les semences et les outils nécessaires sont fournis par la FondationEau.

Une participation active des écoliers indispensable au développement de leur pays
Grâce à ces activités pratiques, les écoliers marquent le paysage alentour de leur empreinte et sont à l’origine de l’adoption de mesures assurant le bon développement de leur pays. Prenons par exemple la reforestation : les enfants protègent les arbres qu’ils ont plantés, car ce sont les leurs et qu’ils ont appris que leur forêt a une fonction vitale, celle de réservoir d’eau.
Le projet sert de modèle aux futurs programmes en Érythrée et dans d’autres pays.

La première école de l’eau est sur le point d’être terminée. Son achèvement ainsi que son inauguration sont prévus à Durko au printemps 2008.

* En janvier 2003, la marque verbale « école de l’eau » a été déposée à l’Office allemand des brevets et des marques.


top


Érythrée


Projet capteurs de brouillard dans les villages d’Arborobu et de Seideci situés dans la région de Maakel, afin de résoudre les problèmes liés à l’eau potable

Contexte
Pour les populations habitant les hauts plateaux de la région de Maakel, (entre 2000 et 2500 mètres d’altitude) l’approvisionnement en eau en dehors de la saison des pluies (de juin à août) a toujours constitué un problème majeur. En effet, à cette altitude, il n’existe aucune source ou nappe phréatique. Les plus touchés sont les femmes et les enfants, qui doivent souvent effectuer un trajet pénible pendant des heures entières pour descendre dans les vallées afin de parvenir à un point d’eau. Dans les vallées, on peut acheter de l’eau acheminée de la capitale Asmara par des camions-citernes, mais elle n’est pas gratuite et reste bien souvent hors de prix pour les populations pauvres. La FondationEau a donc pour objectif d’améliorer l’approvisionnement en eau potable dans ces régions grâce à la création de capteurs de brouillard.

Récolte d’eau potable à partir du brouillard grâce à des filets
Les hauts plateaux ont une particularité : le brouillard s’y forme naturellement. à l’intérieur des terres, l’air chaud monte et absorbe l’air humide qui s’est formé au dessus de la Mer Rouge. Le long d’une région montagneuse de 500 km de long se forme ainsi un nuage très humide qui n’éclate pas. Il peut cependant être utilisé de novembre à mars. Le brouillard ainsi formé est filtré par des filets spéciaux. Les mailles des filets retiennent de fines gouttelettes qui s’écoulent dans des rigoles. Cette technique a été mise au point par l’organisation canadienne FogQuest.

Objectif
Suite à une phase expérimentale réussie au cours des six premiers mois 2005 avec un capteur test d’un mètre carré, des dispositifs de 40 m² ont été installés au printemps 2006 dans les villages d’Arborobu et de Seideci, en Érythrée, afin de mieux approvisionner les deux villages en eau potable. Un filet devrait permettre de recueillir au moins 200 litres d’eau potable par jour, conservés dans des citernes placées à des endroits stratégiques. Environ 2000 personnes en bénéficient. Elles sont intégrées à chaque étape du processus (de la planification à la réalisation en passant par la phase test). Les écoles, notamment, participent à la réalisation du projet par le biais de démonstrations et la distribution de brochures. Bilan de l’opération : 400 familles doivent disposer quotidiennement de 16 m3, couvrant leurs besoins vitaux en eau potable estimés à 40 litres par jour et par famille, d’où l’installation nécessaire de 40 capteurs.

Partenaire
L’organisation non gouvernementale canadienne « FogQuest », qui travaille en collaboration avec une ONG Érythréenne.

Coût
Au total, avec l’installation de 40 capteurs, des canalisations d’alimentation en eau, des citernes, des brochures d’information pour les bénéficiaires, les frais de communication, la part des partenaires du projet, la documentation, les frais de transport et les autorisations, le projet revient à 69 350 €. Un don de 20 000 € a été fait par la Münchener Rück Stiftung pour la fabrication de 20 capteurs. Le ministère de la République fédérale d’Allemagne débloquera vraisemblablement 37 500 € pour la collaboration économique. La FondationEau a encore besoin de 11 850 €. Cependant, si le ministère fédéral de la coopération économique et du développement ne peut débloquer aucun fonds, la somme à récolter se montera alors à 49 350 €.

Supervision
FondationEau, FogQuest

Réalisation
D’ici au printemps 2006, installation de 40 collecteurs

Contact
Ernst Frost
Tél. (Allemagne) : +49 (0)89-29003731
E-mail : kan@knorr-rechtsanwaelte.de
Plus d’infos sur le pays
Ministère fédéral allemand des Affaires étrangères (disponible en anglais, allemand, espagnol et arabe)


top

image
Ghana

Ecole Langma

Construction d’une école de l’eau à Langma, Ghana

Contexte
Au Ghana, la deuxième école de l’eau voit le jour à Langma, ville située à 30 km à l’ouest de la capitale Accra et en bordure du Golfe de Guinée. Dans cette ville, environ 1200 habitants vivent de la pêche et de l’agriculture.

Des travaux de construction quasiment achevés
Les artisans ayant travaillé à la construction de l’école BOKEMI ont désormais terminé les travaux. L’école comprend six classes pouvant accueillir environ 160 écoliers.

Objectif
L’approvisionnement en eau potable du site et de l’école se fera grâce à une source et à un grand réservoir. L'école a prévu la construction de six toilettes sèches et d'une station de traitement des eaux usées biologique visant au nettoyage de l’eau grise (eaux résiduaires de lavage et de cuisine). Un espace avec lavabos et douches permettra d’assurer de bonnes conditions d’hygiène.

Réalisation
Un comité composé de parents et d’enseignants sera en charge de l’approvisionnement en eau de l’école et de la culture du jardin de l’école. Un comité de l’eau élu s’assure de l’utilisation durable de l’eau et surveille l’entretien des installations.
Afin d’améliorer les connaissances et la prise de conscience autour de l’eau, les élèves doivent se réunir au sein d’un club de l’eau, pour mettre en pratique leurs nouveaux savoirs. Le jardin de l’école, d’une superficie de 1,5 ha, permet aux élèves de manger le midi et leur fournit un revenu grâce à la vente de fruits et légumes. L’arrosage se fait grâce à un collecteur d’eau de pluie, qui récolte également les eaux grises. Des outils de jardin, les semences et les plants doivent être achetés et le terrain clôturé. Un jardinier enseigne aux membres du groupe en charge du jardin, au sein du club de l’eau, différentes méthodes de culture, différentes techniques d’enrichissement du sol, ainsi que différents moyens d’économiser l’eau et d’obtenir un meilleur rendement avec les fruits et légumes.

Initiative privée de BOKEMI dont le siège se trouve à Münster, en Westphalie. L’école nouvellement construite doit être aménagée avec l’aide de la FondationEau et de BOKEMI en une école de l’eau. Le projet a pris forme grâce aux dons du collège, lycée et Rotary Club de Prien am Chiemsee et grâce au Rotary International.

top





WasserStiftung | FondationEau
Lechnerstraße 23, 82067 Ebenhausen Allemagne
Tél. : +49 (0)81 78 99 84 18 Fax : +49 (0) 81 78 99 84 19
E-Mail : info@wasserstiftung.de